Papeterie Lalé
Aucune nostalgie dans le goût de l'enfance, mais un terreau magique, la soif des couleurs, le goût des images populaires et les yeux toujours grands ouverts comme la porte de l'atelier.
Les amis, les amours, les affaires, les salons, les cadeaux zigouigouis et le soleil. Le soleil partout, dans le Nordeste brésilien de l'adolescence, dans le Mâconnais de l'enfance chez tatie Suzanne, en camping avec Lionel, à Tanger avec Banjee, à Lyon avec Kakie, au Carababa avec Celso, à Brighton avec Vicky, en Provence chez les Claude, en Italie bien sûr et sur la route toujours.
L'amour des langues et l'école d'interprète, une première entreprise d'accessoires à 23 ans, le diplôme de l'IFM et Lalé oblique vers le conseil en style pendant 20 ans avant de revenir à ses sources : Cendrars pour bourlinguer, René Char pour la lumière des mots, Abelardo pour ses bois naïfs.
Elle maîtrise désormais son métier pour s'amuser au fil de ses collections : des bagages robustes et du linge de maison douillet qu'on trimballe partout, des objets talismans choisis à la volée. On peut créer en aimant fabriquer, être une colporteuse sans vendre de la camelote. Juste une question de respect pour le joli travail bien fait.
En ce début nous accueillons sa papeterie, éditée par Atomic soda
en attendant, mi mars la collection textile,
petits sacs, foulards et miroirs dans ses si jolis motifs exclusifs
disponible en boutique et en ligne